Actualité | 19 février 2023
Fini les crises, à nous l’avenir !

Amour de la justice, exigence de la solidarité, et, surtout, le courage de la rupture : a l’instar du Parti socialiste neuchâtelois, la Jeunesse socialiste neuchâteloise a récemment désigné ses candidates et candidats au Conseil national dans le cadre des prochaines élections fédérales qui se tiendront en octobre prochain.

Alors que les écarts de richesses entre les plus privilégiés et les plus précaires n’ont jamais été aussi indécents, que les acquis sociaux, notamment des femmes et des minorités, sont sans cesse remis en cause, et que la crise climatique appelle à un sursaut radical en matière de politique environnementale, la majorité bourgeoise du Parlement préfère se concentrer sur la consolidation des privilèges fiscaux pour les grandes entreprises, sur le bien-être des ultras-riches, et sur la suppression des salaires minimaux cantonaux. Or, c’est contre cette politique élitiste et déconnectée des problèmes de la population que la JSN se battra tout au long de la campagne. Et elle le fera par la voix d’une liste paritaire, motivée, et compétente. 

Elle s’appuiera également sur son programme, adopté il y a peu et fruit d’une démarche participative qui a permis de manifester ses valeurs, de les coucher sur le papier, et de structurer ses propositions autour de trois axes centraux : anticapitalisme, féminisme et écologie, à l’image de l’Initiative pour l’avenir de la Jeunesse socialiste suisse, qui refuse de faire payer la crise climatique au 99% de la population. A noter que ce programme n’est pas que le carnet de voyage d’une campagne qui s’annonce forte et mouvementée. Il est aussi, à futur, le réceptacle des aspirations de toutes celles et ceux qui font et feront encore pour de longues années la JSN, et qui ressentent le même besoin urgent de Justice.

Cette liste est celle de la jeunesse neuchâteloise. Non pas seulement celle qui adhère au Parti. De toute la jeunesse.

Cette liste est celle qui refuse de suivre la ligne de la sociale-démocratie quand elle s’égare sur les pentes sablonneuses de la sociale-médiocratie, comme lorsqu’elle contraint un ministre socialiste à proposer une réforme inique qui conduit les femmes à travailler plus pour gagner moins.

Cette liste est, enfin, celle de Camarades dont vous connaissez le visage, l’audace, et l’engagement sans faille au service des valeurs socialistes. Ce sont les voix de Zoé Nater, de Marius Hofer, de Pauline Schneider et d’Emil Margot. Ce sont les voix qui ne renoncent pas, qui ne se résignent pas. Ce sont les voix qui s’élèvent chaque jour à l’unisson, dans la rue, dans les assemblées et dans les associations. Ce sont les voix qui se battent pour qu’adviennent enfin les jours heureux. 

Ce sont les voix qui nous mèneront peut-être jusqu’à la victoire. 

Alors, Soyez réalistes, et demandez l’impossible !

Hugo Clémence, co-président de la Jeunesse socialiste neuchâteloise

Fini les crises, à nous l’avenir !

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